Chorégraphe et professeur franco-canadienne, Elisabeth Bizoirre débute la danse classique en région parisienne sous la direction de Danielle Dorion Hardel, une des élèves de Daniel Franck. Elle entre à l’École Marius Petipa en danse classique avant d’intégrer le Conservatoire de Paris où elle obtiendra le premier prix en danse contemporaine ainsi que son diplôme d’études chorégraphiques.
Sous la direction de Priscilla Danton, elle interprétera pendant ses années d’études des pièces de Sylvain Prunenec, Rodolfo Araya, Didier Silhol, Dominique Bagouet. Elle cofondera alors sa compagnie avec laquelle elle chorégraphiera et dansera dans différents festivals en France. Elle danse également dans les films Appartement 27 et Le temple.
Elisabeth entre ensuite dans différentes compagnies notamment La petite fabrique pour Les fables à Lafontaine en danse classique où elle interprète le rôle du Héron en France et à l’étranger. Elle crée en 2019 Je suis presque la fille de mon père, une pièce de danse contemporaine qu’elle produira sur Paris.
Détentrice du Diplôme d’Etat de Professeur de Danse (DE) en danse classique et contemporaine, Elisabeth participe au programme Danse à l’Hôpital en donnant des ateliers de danse à des adolescents victimes de troubles comportementaux.
En 2010, Élisabeth intègre l’équipe de l’Académie du Ballet Métropolitain à Montréal (Canada) ou elle enseignera les danses classique et contemporaine du niveau récréatif, Danse-Études à professionnel.
De 2019 à 2024, elle est engagée en tant que chorégraphe pour les émissions Révolution (Québec) et La France a un incroyable talent.
« La danse est bien plus qu’une passion pour moi, j’y investis tout mon amour et mon énergie afin de guider mes élèves vers la compréhension de la beauté de cet art. Mon objectif est de leur transmettre non seulement les techniques, mais aussi l’émotion et la liberté qui en découlent.
Grâce à leur persévérance, certains ont eu la chance de participer à de nombreuses compétitions et de côtoyer des lieux prestigieux tels que l’Opéra de Paris, le Royal Ballet, le Jürgen Ballet et les Grands Ballets Canadiens. Ces expériences enrichissent leur parcours et nourrissent leur évolution artistique.
Qu’ils soient amateurs ou professionnels, voir mes élèves se réaliser en studio ou sur scène est un immense privilège ».